(2025) ROmerican Avant-Garde
Catégorie(s): Piano Raretés
Instrument(s): Piano
Compositeur principal: Compositeurs multiples (voir les collections)
Nb CD(s): 1
N° de catalogue:
CD 3133
Sortie: 10.10.2025
EAN/UPC: 7619931313320
(L'album sera envoyé quelques jours avant la sortie officielle).
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ROMERICAN AVANT-GARDE
ROMERICAN AVANT-GARDE
Conçu comme un récital de piano classique “revisité”, ROmerican Avant-Garde est un concert-expérience d’une durée totale d’environ 50 minutes, interprété en concert sans applaudissements et presque sans interruption entre les oeuvres.
Ce programme musical particulier, qui présente des compositions américaines et roumaines principalement écrites durant la première moitié du 20e siècle et dédiées au piano, est assemblé autour d’une oeuvre inédite créée à Paris en 1955, et jamais rejouée en Europe jusqu’en 2022 : The Seven Deadly Sins (Les Sept Péchés Capitaux) de Jacob Druckman.
À PROPOS DU PROJET
Les deux années de pandémie Covid-19 (2020 et 2021) ont mis un arrêt brutal aux évènements culturels en présentiel et, notamment aux concerts publics. Même lors des allègements des restrictions sanitaires, le public a été longtemps réticent à retourner, voire parfois n’est jamais revenu du tout aux concerts, ce qui témoigne de la fragilité du public actuel.
Au vu des habitudes qui ont radicalement changé depuis le début de la pandémie, je vois ici une opportunité de repenser le concert classique afin de le rendre accessible aussi à une population de non habitués, de non-mélomanes traditionnels.
Le choix d’amener un répertoire américain en Europe en le liant à des oeuvres roumaines me permet de mettre en évidence les liens culturels qui existent par la musique en tout temps, malgré les guerres, les distances et les bouleversements sociaux : si la nostalgie nocturne de George Enescu en Roumanie durant la 1ère Guerre Mondiale résonne avec les paysages imaginaires d’après-guerre de John Cage à New York en 1948, la rébellion atonale de l’américain Jacob Druckman en 1955 à Paris peut résonner avec le public du 21e siècle, qui, lui aussi, doit faire face à une période d’incertitudes et de transformations profondes.
LE RÉPERTOIRE
Le programme proposé par ROmerican Avant-Garde, rempli d’oeuvres audacieuses, allant du rêve à la colère et la rébellion, en passant par une nostalgie autant New-Yorkaise que de l’Est de l’Europe, témoigne d’un besoin de re-nouveau, d’avant-garde. L’un des principaux compositeurs de l’avant-garde musicale américaine, Jacob Druckman est également considéré comme l'un des plus grands orchestrateurs de sa génération. Pourtant, The Seven Deadly Sins est sa seule pièce connue pour piano solo. Écrite en Europe, à Paris, cette oeuvre pourrait représenter un « terrain d’expérimentation » pour le compositeur, qui n’a pas cessé de tester et d’aborder de nouvelles manières de composition, après son retour aux États-Unis. Adepte du courant atonal, avec des réminiscences tonales qui sont magistralement « cachées » dans le discours musical, Druckman trouve ses sources principales d’inspiration dans la musique d’Igor Stravinsky et de son professeur de composition, Aaron Copland. A partir des années 1960, Druckman est de plus en plus passionné par le courant de la musique électronique et par le genre de l’opéra, deux éléments qui vont contribuer à l’originalité de sa future création musicale.
John Cage, compositeur emblématique de la musique expérimentale américaine, adepte du style dissonant et notamment de l’instrument préparé (en incluant le piano jouet), rejoint ce programme avec une oeuvre de jeunesse, peu connue et très surprenante par sa mélodicité : In a Landscape (Dans un paysage). Cette pièce écrite en 1948 fait penser à une méditation; elle a été composée durant une étape de remise en question profonde dans la vie du compositeur, période pendant laquelle il s’initie à la culture Zen. Son catalogue comprend une autre oeuvre du même style, Dream (Rêve). Dans ce programme, In a Landscape symbolise l’ouverture vers un monde imaginaire qui s’annonce à la fois caricatural, grotesque, doux et nostalgique.
Remus Georgescu, chef d’orchestre et compositeur roumain réputé, apparaît dans ce contexte d’avant-garde musicale avec Trois miniatures pour piano. Georgescu est aussi l’adepte d’un langage musical proche de la musique de Béla Bartók et d’Igor Stravinsky, une musique dissonante et atonale, qui exprime une grande liberté intérieure. Les atmosphères proposées par ces miniatures sont donc diverses, en passant par le mystère de la vie nocturne et l’ambiguïté rêve/cauchemar (Berceuse), la nostalgie postromantique (Sicilienne) et la caricature (Marche).
L’association avec l’oeuvre de Druckman est donc évidente. Ces trois pièces, qui suivent l’oeuvre du début (In a Landscape de Cage), ont le rôle de préparer l’oreille de l’auditeur et de l’amener peu à peu vers la réalité du monde d’après-guerre (1955).
Le troisième compositeur américain qui complète le programme, Aaron Copland, surnommé le doyen des compositeurs américains, est l’un des plus originaux et influents compositeurs du 20e siècle. En ayant étudié la composition avec Nadia Boulanger à Paris durant trois ans, sa vaste création musicale est imprégnée de mélanges surprenants entre les courants artistiques du moment (tels que le jazz, le postimpressionnisme ou le néoclassicisme) et les nouveaux langages musicaux tant expérimentés par les compositeurs les plus radicaux du début du 20e siècle : la musique sérielle, l’atonalité ou les nouveaux effets sonores produits sur les instruments.
Comme dans un poème d’avant-garde, presque hors contexte et d’une manière fugitive, Leonard Bernstein « intervient » et rend hommage à son maître et ami, Aaron Copland, avec la miniature intitulée For Aaron Copland. Cette oeuvre est extraite du recueil Sept Anniversaires, qui englobe 7 oeuvres pour piano solo écrites entre 1942-43.
Ces courtes pièces représentent un cadeau musical offert pour l’anniversaire de chaque ami.e du compositeur. Le caractère miniatural est de nouveau utilisé afin de préparer l’entrée des Quatre blues pour piano de Copland.
La dernière pièce de ce « collage » musical est Carillon Nocturne, du renommé compositeur roumain George Enescu. Inspirée par la musique folklorique roumaine, le courant impressionniste et plus tard par la musique orientale, Enescu crée son propre langage en trouvant l’équilibre parfait entre ses sources d’inspiration et sa propre intuition musicale.
Par cette originale représentation des carillons, l’oeuvre d’Enescu suggère une ambiance de tranquillité et de stabilité à la fin du programme, ce qui permet au public de doucement reprendre contact avec lui-même. Les dissonances ne sont plus les vrais conflits harmoniques des Sept Péchés Capitaux, mais plutôt une représentation fidèle des résonances naturelles des cloches, tant aiguës que profondes, produites cette fois-ci par le piano.
DINU MIHĂILESCU
Né en 1988 en Roumanie dans une famille de musiciens, le pianiste Dinu Mihailescu est établi à Lausanne (Suisse) depuis 2020.
Il a étudié à la Haute Ecole de Musique de Genève en ayant eu comme mentors Dominique Weber et Cédric Pescia. Il s’est également perfectionné avec des pédagogues renommés tels Leon Fleisher, Dmitri Bashkirov, Menahem Pressler ou Paul Coker.
Dinu est Docteur en musique grâce à sa recherche effectuée sur le répertoire pour piano du compositeur Béla Bartók.
En tant que concertiste, il s’est produit avec les principaux orchestres de Roumanie ainsi qu’avec l’Orchestre de la HEM de Genève et l’Orchestre du Festival de Gijón-Candàs. Il a été invité à se produire dans de prestigieux festivals internationaux tels le Verbier Festival UNLTD, Lavaux Classic, Millennium Piano Festival de Gijón (Espagne), Puplinge Classique (Suisse).
Il se produit régulièrement en Suisse, notamment au Yehudi Menuhin Forum à Bern, Victoria Hall de Genève, Studio Ansermet de la RTS (Genève), Salle Franz Liszt du Conservatoire de Musique et à l’Alhambra à Genève.
Dinu s’est produit en tournée aux États-Unis à la Cook Hall (MSU), au Steinway Gallery Hall de Detroit et au RCI de New York.
En tant que membre du duo pianistique OXY MORE, Dinu a enregistré un CD en 2021 avec un répertoire inédit pour deux pianos (Rosey Concert Hall, Suisse). En 2024, il collabore avec la chanteuse coréenne de renommée internationale Youn Sun Nah, dans un concert de fusion classique-jazz.
Le jeune musicien est également récompensé par de nombreux prix dont le 2e Prix au Concours International de Piano Béla Bartók à Szeged (Hongrie, 2017), et le Prix d’excellence du Rotary club pour la participation à l’art et la culture en Roumanie.
Dinu Mihailescu complète son activité de concertiste en enseignant le piano au CPMDT de Genève et à l’EML de Lausanne. Il se dédie de plus en plus au mélange du répertoire classique et moderne avec le répertoire contemporain pour piano.
En octobre 2025 Dinu interprétera le programme ROmerican Avant-Garde dans la préstigieuse Weill Recital Hall au Carnegie Hall de New-York.
(2025) ROmerican Avant-Garde - CD 3133
ROMERICAN AVANT-GARDE
Conçu comme un récital de piano classique “revisité”, ROmerican Avant-Garde est un concert-expérience d’une durée totale d’environ 50 minutes, interprété en concert sans applaudissements et presque sans interruption entre les oeuvres.
Ce programme musical particulier, qui présente des compositions américaines et roumaines principalement écrites durant la première moitié du 20e siècle et dédiées au piano, est assemblé autour d’une oeuvre inédite créée à Paris en 1955, et jamais rejouée en Europe jusqu’en 2022 : The Seven Deadly Sins (Les Sept Péchés Capitaux) de Jacob Druckman.
À PROPOS DU PROJET
Les deux années de pandémie Covid-19 (2020 et 2021) ont mis un arrêt brutal aux évènements culturels en présentiel et, notamment aux concerts publics. Même lors des allègements des restrictions sanitaires, le public a été longtemps réticent à retourner, voire parfois n’est jamais revenu du tout aux concerts, ce qui témoigne de la fragilité du public actuel.
Au vu des habitudes qui ont radicalement changé depuis le début de la pandémie, je vois ici une opportunité de repenser le concert classique afin de le rendre accessible aussi à une population de non habitués, de non-mélomanes traditionnels.
Le choix d’amener un répertoire américain en Europe en le liant à des oeuvres roumaines me permet de mettre en évidence les liens culturels qui existent par la musique en tout temps, malgré les guerres, les distances et les bouleversements sociaux : si la nostalgie nocturne de George Enescu en Roumanie durant la 1ère Guerre Mondiale résonne avec les paysages imaginaires d’après-guerre de John Cage à New York en 1948, la rébellion atonale de l’américain Jacob Druckman en 1955 à Paris peut résonner avec le public du 21e siècle, qui, lui aussi, doit faire face à une période d’incertitudes et de transformations profondes.
LE RÉPERTOIRE
Le programme proposé par ROmerican Avant-Garde, rempli d’oeuvres audacieuses, allant du rêve à la colère et la rébellion, en passant par une nostalgie autant New-Yorkaise que de l’Est de l’Europe, témoigne d’un besoin de re-nouveau, d’avant-garde. L’un des principaux compositeurs de l’avant-garde musicale américaine, Jacob Druckman est également considéré comme l'un des plus grands orchestrateurs de sa génération. Pourtant, The Seven Deadly Sins est sa seule pièce connue pour piano solo. Écrite en Europe, à Paris, cette oeuvre pourrait représenter un « terrain d’expérimentation » pour le compositeur, qui n’a pas cessé de tester et d’aborder de nouvelles manières de composition, après son retour aux États-Unis. Adepte du courant atonal, avec des réminiscences tonales qui sont magistralement « cachées » dans le discours musical, Druckman trouve ses sources principales d’inspiration dans la musique d’Igor Stravinsky et de son professeur de composition, Aaron Copland. A partir des années 1960, Druckman est de plus en plus passionné par le courant de la musique électronique et par le genre de l’opéra, deux éléments qui vont contribuer à l’originalité de sa future création musicale.
John Cage, compositeur emblématique de la musique expérimentale américaine, adepte du style dissonant et notamment de l’instrument préparé (en incluant le piano jouet), rejoint ce programme avec une oeuvre de jeunesse, peu connue et très surprenante par sa mélodicité : In a Landscape (Dans un paysage). Cette pièce écrite en 1948 fait penser à une méditation; elle a été composée durant une étape de remise en question profonde dans la vie du compositeur, période pendant laquelle il s’initie à la culture Zen. Son catalogue comprend une autre oeuvre du même style, Dream (Rêve). Dans ce programme, In a Landscape symbolise l’ouverture vers un monde imaginaire qui s’annonce à la fois caricatural, grotesque, doux et nostalgique.
Remus Georgescu, chef d’orchestre et compositeur roumain réputé, apparaît dans ce contexte d’avant-garde musicale avec Trois miniatures pour piano. Georgescu est aussi l’adepte d’un langage musical proche de la musique de Béla Bartók et d’Igor Stravinsky, une musique dissonante et atonale, qui exprime une grande liberté intérieure. Les atmosphères proposées par ces miniatures sont donc diverses, en passant par le mystère de la vie nocturne et l’ambiguïté rêve/cauchemar (Berceuse), la nostalgie postromantique (Sicilienne) et la caricature (Marche).
L’association avec l’oeuvre de Druckman est donc évidente. Ces trois pièces, qui suivent l’oeuvre du début (In a Landscape de Cage), ont le rôle de préparer l’oreille de l’auditeur et de l’amener peu à peu vers la réalité du monde d’après-guerre (1955).
Le troisième compositeur américain qui complète le programme, Aaron Copland, surnommé le doyen des compositeurs américains, est l’un des plus originaux et influents compositeurs du 20e siècle. En ayant étudié la composition avec Nadia Boulanger à Paris durant trois ans, sa vaste création musicale est imprégnée de mélanges surprenants entre les courants artistiques du moment (tels que le jazz, le postimpressionnisme ou le néoclassicisme) et les nouveaux langages musicaux tant expérimentés par les compositeurs les plus radicaux du début du 20e siècle : la musique sérielle, l’atonalité ou les nouveaux effets sonores produits sur les instruments.
Comme dans un poème d’avant-garde, presque hors contexte et d’une manière fugitive, Leonard Bernstein « intervient » et rend hommage à son maître et ami, Aaron Copland, avec la miniature intitulée For Aaron Copland. Cette oeuvre est extraite du recueil Sept Anniversaires, qui englobe 7 oeuvres pour piano solo écrites entre 1942-43.
Ces courtes pièces représentent un cadeau musical offert pour l’anniversaire de chaque ami.e du compositeur. Le caractère miniatural est de nouveau utilisé afin de préparer l’entrée des Quatre blues pour piano de Copland.
La dernière pièce de ce « collage » musical est Carillon Nocturne, du renommé compositeur roumain George Enescu. Inspirée par la musique folklorique roumaine, le courant impressionniste et plus tard par la musique orientale, Enescu crée son propre langage en trouvant l’équilibre parfait entre ses sources d’inspiration et sa propre intuition musicale.
Par cette originale représentation des carillons, l’oeuvre d’Enescu suggère une ambiance de tranquillité et de stabilité à la fin du programme, ce qui permet au public de doucement reprendre contact avec lui-même. Les dissonances ne sont plus les vrais conflits harmoniques des Sept Péchés Capitaux, mais plutôt une représentation fidèle des résonances naturelles des cloches, tant aiguës que profondes, produites cette fois-ci par le piano.
DINU MIHĂILESCU
Né en 1988 en Roumanie dans une famille de musiciens, le pianiste Dinu Mihailescu est établi à Lausanne (Suisse) depuis 2020.
Il a étudié à la Haute Ecole de Musique de Genève en ayant eu comme mentors Dominique Weber et Cédric Pescia. Il s’est également perfectionné avec des pédagogues renommés tels Leon Fleisher, Dmitri Bashkirov, Menahem Pressler ou Paul Coker.
Dinu est Docteur en musique grâce à sa recherche effectuée sur le répertoire pour piano du compositeur Béla Bartók.
En tant que concertiste, il s’est produit avec les principaux orchestres de Roumanie ainsi qu’avec l’Orchestre de la HEM de Genève et l’Orchestre du Festival de Gijón-Candàs. Il a été invité à se produire dans de prestigieux festivals internationaux tels le Verbier Festival UNLTD, Lavaux Classic, Millennium Piano Festival de Gijón (Espagne), Puplinge Classique (Suisse).
Il se produit régulièrement en Suisse, notamment au Yehudi Menuhin Forum à Bern, Victoria Hall de Genève, Studio Ansermet de la RTS (Genève), Salle Franz Liszt du Conservatoire de Musique et à l’Alhambra à Genève.
Dinu s’est produit en tournée aux États-Unis à la Cook Hall (MSU), au Steinway Gallery Hall de Detroit et au RCI de New York.
En tant que membre du duo pianistique OXY MORE, Dinu a enregistré un CD en 2021 avec un répertoire inédit pour deux pianos (Rosey Concert Hall, Suisse). En 2024, il collabore avec la chanteuse coréenne de renommée internationale Youn Sun Nah, dans un concert de fusion classique-jazz.
Le jeune musicien est également récompensé par de nombreux prix dont le 2e Prix au Concours International de Piano Béla Bartók à Szeged (Hongrie, 2017), et le Prix d’excellence du Rotary club pour la participation à l’art et la culture en Roumanie.
Dinu Mihailescu complète son activité de concertiste en enseignant le piano au CPMDT de Genève et à l’EML de Lausanne. Il se dédie de plus en plus au mélange du répertoire classique et moderne avec le répertoire contemporain pour piano.
En octobre 2025 Dinu interprétera le programme ROmerican Avant-Garde dans la préstigieuse Weill Recital Hall au Carnegie Hall de New-York.
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